Stérilet Mirena, anxiété et dépression
ALERTE - Si vous utilisez le stérilet Mirena ou prenez une progestine sous une autre forme (Provera, Depo-Provera, Micronor ou contraceptif combiné ex : oestrogène-progestatif) lisez ceci !
La lettre ci-dessous provient d'une femme qui veut partager avec vous une expérience effarante comme mère d'une fille qui a vécu un cauchemar inimaginable à cause du stérilet Mirena.
Bonjour à vous tous. L’histoire qui suit est bien vraie puisque je viens tout juste de la vivre. Je débute avec une petite mise en contexte : ma soeur est décédée à l’âge de 31 ans dans un accident de voiture me laissant la perle la plus précieuse de sa vie : sa petite Marianne de 10 ans. Je l'aimais déjà comme ma fille mais à partir de ce jour nous vivons ensemble et je deviens sa tante-mère comme elle le dit si bien.
Marianne a eu 31 ans le 9 février dernier. Elle a deux beaux jeunes enfants et un amoureux, comme toutes les mères en veulent un pour leur fille. C'est une belle histoire n'est-ce pas?
Après la naissance de son deuxième enfant, Marianne va rencontrer sa médecin de famille pour lui dire qu'elle réagit très fortement à la prise de contraceptifs oraux. Elle est donc un peu inquiète de se faire installer un stérilet Mirena, puisqu'il contient des hormones, sa médecin la rassure en lui disant que c'est minime et que la plupart des femmes n'ont aucun problème.
Marianne commence à se sentir fatiguée, dépressive, elle ne se reconnaît plus. Elle si heureuse avec sa petite famille et de nature joyeuse, optimiste, dynamique, mais on lui dit c'est normal, que c'est le postpartum!!! Elle navigue tant bien que mal à travers ces chambardements, tant physique que psychique. Marianne cherche...c'est vrai qu'elle a perdu sa mère jeune, les bébés sont rapprochés, etc. Tout y passe, elle scrute, elle se questionne.
Automne 2010 - l'angoisse s'amplifie, les crises de panique, etc. Suite à une crise elle consulte une clinique sans rendez-vous et en moins de 2 on lui donne des antidépresseurs: «Retournez chez vous ma petite madame tout ira mieux.».
Deux jours plus tard Marianne est envahie d'idées suicidaires!!!! Visite à l'urgence, psychiatrie, etc. On lui répond: «Consultez un psy et ça ira». Le lendemain matin ça ne va vraiment pas mieux, elle passe donc quelques jours au centre de crise, trouve une merveilleuse psy, fait tout ce qu'il faut, mange bien, fait de l'exercice, prend soin d'elle, mais ça ne va pas mieux. Un mois plus tard sa psy la trouve trop dépressive pour poursuivre. Un autre petit séjour à l'urgence psychiatrique, revoit son médecin, on augmente la dose des antidépresseurs. Elle va bien pour quelques jours, tout le monde reprend espoir, et hop ça retombe.
Elle décide d'aller voir un acupuncteur. Cela l'aide sur le coup mais tout revient. Janvier 2011 semble annonciateur de mieux-être. Marianne reprend goût à certaines activités, pense même se chercher un emploi. Début février elle m'appelle complètement découragée; fatigue extrême, dépression, idées noires, etc., c'est le découragement total. Le lendemain elle a un rendez-vous chez son acupuncteur. Elle rassemble le peu d'énergie qui lui reste pour se rendre à son rendez-vous. En la voyant il est surpris de son état - elle est à plat et ce dernier lui dit: «Ça ressemble à un gros SPM» et elle répond: «Impossible je ne suis plus menstruée depuis deux ans car j'ai un stérilet Mirena». Ce dernier lui indique que ce stérilet est plein d’hormones et que c’est peut-être la cause de son état.
De retour chez elle, Marianne vérifie sur différents blogs et forums et y trouvent plusieurs témoignages de femmes qui ont vécu exactement la même chose! Dépression, idées noires, idées suicidaires, troubles anxieux, maux de têtes, de dos, etc.
Quand elle m'a appelé pour me dire ça j'ai d'abord senti un très grand soulagement - enfin la lumière au bout du tunnel. J'étais si heureuse pour elle! Mais à peine le téléphone raccroché qu'une énorme vague de colère, plutôt un tsunami, m'a envahi. Il n'en fallait pas plus pour éveiller ma guerrière et ses tonnes de faucons; faucon fasse ceci, faucon fasse cela, faucon dénonce, faucon passe à l'émission «Tout le monde en parle», faucon informe les médecins (puisque à tout le moins la sienne n'a pas porté attention à ce détail quand elle est retournée la voir à moitié morte!!!!).
Heureusement ma guerrière s'apaise plus facilement maintenant (avantage de l'âge!!!) et elle cherche avec son oeil de faucon une solution plus pacifique mais tout de même efficace et plus en harmonie avec ses valeurs. Je me suis dit au fond que peut-être seulement 1 ou 2% des femmes réagissent aussi fortement, c'est pour ça que personne n'en parle, que les médecins n'en tiennent pas trop compte. Mais même 1% des femmes ça en fait des femmes, et ma fille en faisait partie!!!!
Pour son 31e anniversaire j’étais à ses côtés et j’ai eu le plaisir de lui offrir un magnifique gâteau d'anniversaire; que c'est beau la VIE!!!!
La lettre ci-dessous provient d'une femme qui veut partager avec vous une expérience effarante comme mère d'une fille qui a vécu un cauchemar inimaginable à cause du stérilet Mirena.
Bonjour à vous tous. L’histoire qui suit est bien vraie puisque je viens tout juste de la vivre. Je débute avec une petite mise en contexte : ma soeur est décédée à l’âge de 31 ans dans un accident de voiture me laissant la perle la plus précieuse de sa vie : sa petite Marianne de 10 ans. Je l'aimais déjà comme ma fille mais à partir de ce jour nous vivons ensemble et je deviens sa tante-mère comme elle le dit si bien.
Marianne a eu 31 ans le 9 février dernier. Elle a deux beaux jeunes enfants et un amoureux, comme toutes les mères en veulent un pour leur fille. C'est une belle histoire n'est-ce pas?
Après la naissance de son deuxième enfant, Marianne va rencontrer sa médecin de famille pour lui dire qu'elle réagit très fortement à la prise de contraceptifs oraux. Elle est donc un peu inquiète de se faire installer un stérilet Mirena, puisqu'il contient des hormones, sa médecin la rassure en lui disant que c'est minime et que la plupart des femmes n'ont aucun problème.
Marianne commence à se sentir fatiguée, dépressive, elle ne se reconnaît plus. Elle si heureuse avec sa petite famille et de nature joyeuse, optimiste, dynamique, mais on lui dit c'est normal, que c'est le postpartum!!! Elle navigue tant bien que mal à travers ces chambardements, tant physique que psychique. Marianne cherche...c'est vrai qu'elle a perdu sa mère jeune, les bébés sont rapprochés, etc. Tout y passe, elle scrute, elle se questionne.
Automne 2010 - l'angoisse s'amplifie, les crises de panique, etc. Suite à une crise elle consulte une clinique sans rendez-vous et en moins de 2 on lui donne des antidépresseurs: «Retournez chez vous ma petite madame tout ira mieux.».
Deux jours plus tard Marianne est envahie d'idées suicidaires!!!! Visite à l'urgence, psychiatrie, etc. On lui répond: «Consultez un psy et ça ira». Le lendemain matin ça ne va vraiment pas mieux, elle passe donc quelques jours au centre de crise, trouve une merveilleuse psy, fait tout ce qu'il faut, mange bien, fait de l'exercice, prend soin d'elle, mais ça ne va pas mieux. Un mois plus tard sa psy la trouve trop dépressive pour poursuivre. Un autre petit séjour à l'urgence psychiatrique, revoit son médecin, on augmente la dose des antidépresseurs. Elle va bien pour quelques jours, tout le monde reprend espoir, et hop ça retombe.
Elle décide d'aller voir un acupuncteur. Cela l'aide sur le coup mais tout revient. Janvier 2011 semble annonciateur de mieux-être. Marianne reprend goût à certaines activités, pense même se chercher un emploi. Début février elle m'appelle complètement découragée; fatigue extrême, dépression, idées noires, etc., c'est le découragement total. Le lendemain elle a un rendez-vous chez son acupuncteur. Elle rassemble le peu d'énergie qui lui reste pour se rendre à son rendez-vous. En la voyant il est surpris de son état - elle est à plat et ce dernier lui dit: «Ça ressemble à un gros SPM» et elle répond: «Impossible je ne suis plus menstruée depuis deux ans car j'ai un stérilet Mirena». Ce dernier lui indique que ce stérilet est plein d’hormones et que c’est peut-être la cause de son état.
De retour chez elle, Marianne vérifie sur différents blogs et forums et y trouvent plusieurs témoignages de femmes qui ont vécu exactement la même chose! Dépression, idées noires, idées suicidaires, troubles anxieux, maux de têtes, de dos, etc.
Quand elle m'a appelé pour me dire ça j'ai d'abord senti un très grand soulagement - enfin la lumière au bout du tunnel. J'étais si heureuse pour elle! Mais à peine le téléphone raccroché qu'une énorme vague de colère, plutôt un tsunami, m'a envahi. Il n'en fallait pas plus pour éveiller ma guerrière et ses tonnes de faucons; faucon fasse ceci, faucon fasse cela, faucon dénonce, faucon passe à l'émission «Tout le monde en parle», faucon informe les médecins (puisque à tout le moins la sienne n'a pas porté attention à ce détail quand elle est retournée la voir à moitié morte!!!!).
Heureusement ma guerrière s'apaise plus facilement maintenant (avantage de l'âge!!!) et elle cherche avec son oeil de faucon une solution plus pacifique mais tout de même efficace et plus en harmonie avec ses valeurs. Je me suis dit au fond que peut-être seulement 1 ou 2% des femmes réagissent aussi fortement, c'est pour ça que personne n'en parle, que les médecins n'en tiennent pas trop compte. Mais même 1% des femmes ça en fait des femmes, et ma fille en faisait partie!!!!
Pour son 31e anniversaire j’étais à ses côtés et j’ai eu le plaisir de lui offrir un magnifique gâteau d'anniversaire; que c'est beau la VIE!!!!